Le cas le plus spectaculaire est le nez présentant une petite bosse. Le médecin pique entre les sourcils afin que le produit forme une baguette bien rectiligne, prolongée par la bosse qui semble alors aplatie. Ensuite, même geste mais depuis la pointe du nez. Arête trop creusée suite à une rhinoplastie chirurgicale et le nez se résume à une pointe avec deux narines ? Grâce aux injections d’acide hyaluronique, on recrée du volume au niveau de l’arête nasale et le nez retrouve une forme plus pyramidale, plus harmonieuse. Autre cas : en vieillissant, le nez s’affaisse et sa pointe tombe, entraînant l’effondrement des arcades sourcilières. Les injections vont restaurer les volumes et remonter tout l’édifice.

Immédiatement visibles : le nez apparaît bien droit, élégant, pas épaté.

Cette zone étant peu vascularisée, le produit tient bien – environ dix-huit mois-. En renouvelant le protocole deux à trois ans de suite, on a souvent la surprise de voir se former, sur les zones traitées, un tissu cicatriciel dont les volumes vont remplacer avantageusement ceux apportés par l’acide hyaluronique. Il n’est plus nécessaire alors de poursuivre les injections.

Pas de rougeur, pas d’hématome, pas d’éviction sociale.

Ce protocole est idéal pour toutes les personnes qui envisagent une rhinoplastie chirurgicale mais qui ont peur d’une métamorphose irréversible. Grâce aux injections d’acide hyaluronique, on peut voir à quoi ressemblera le nez « retouché ». En cas d’insatisfaction, pas de problème. On ne renouvelle pas le traitement et les résultats, éphémères, s’estompent progressivement.